« …Kamel Daoud a la voix ardente…Grâce aux deux acteurs, Lounès Tazaïrt et Mathieu Genet – choisis avec un rare discernement par Caroline Girard- qui, ne ménageant par leur talent, font scintiller les textes de Kamel Daoud, ceux qui ont pu assister à cette lecture ne sont pas prêts de l’oublier. «
Joshka Schidlow – 2015
qui, avant de créer le blog allegrotheatre, fut l’une des plumes les plus appréciées ou décriées de Télérama
« … Par la modulation de sa voix, par ses gestes, Caroline Girard a su donner vie aux personnages de L’Enfant Bleu… »
Lettre d’Henry Bauchau – 2009
« … Caroline Girard lit des extraits de ses deux romans sur l’Île de la Barthelasse. L’écriture est puissante, l’univers saisissant, la voix hypnotique, le public bouleversé… »
Daniel Conrod, Télérama – 2002
Le Bateau-Livres
« … N’oubliez pas de faire escale sur le Bateau-Livres, cocon douillet où les passagers se bercent des récits de La Liseuse. À contre-courant des impératifs et des contraintes de nos vies contemporaines, les conditions sont ici idéales pour recevoir les oeuvres … »
Agnès Santi , La Terrasse – 2012
À vous de lire aux Galeries Lafayette
« … Trois lecteurs de la Cie La Liseuse installés dans un mobilier d’intérieur lisent de courts extraits de textes, virgules littéraires sur le parcours des courses, toupie langagière, pique, épique et poésie. L’espace est familier et prend des airs de boudoir dans lequel les passants enthousiasmés trouvent leur place et la lecture son évidence… »
Florence Thielland, Figaro magazine – 2011
« Se mettre en résistance. Cette métaphore dit bien le jeu physique avec l’air, l’énergie, l’apesanteur qu’implique le fait de «porter» un texte en public. Mais avec cette image, Caroline Girard souligne aussi la dimension militante de sa discipline. Car à voix haute, il s’agit de faire entendre la pensée au sens fort et de préférence au plus grand nombre. »
Judith Sibony – Théâtre magazine -2016
« Ce ne sont que de pauvres paysans, oui mais voilà: quand un écrivain, un vrai, passe par là, cela se met à ressembler à du Faulkner… Chez nous Caroline Girard pourrait être la descendante directe du Zola de «La Terre» ou du Giono des «âmes fortes». C’est une réussite pour son éditrice de lancer un auteur de cette trempe-là. »
Magazine Littéraire n°367
« Pour un début, Caroline Girard a choisi un décor et des personnages qui ne sont simples qu’en apparence. De ce monde rural si souvent dépeint, elle brosse un tableau qui n’est pas banal, et cela sans forcer le ton, sans effets, ce qui est la meilleure façon de retenir le lecteur. «
Le Monde des Livres
« La Mort arc-en-ciel, ce premier roman d’une comédienne passée à la littérature, raconte, quoique d’un ange, une vie qui n’est pas rêvée. C’est un livre d’une violence épuisante, douloureuse, magnifique. «
Le Nouvel observateur
« Premier roman de Caroline Girard, «La Mort arc-en-ciel» est façonné dans une langue âpre et musicale, qui n’est pas sans rappeler le grand souffle imaginaire de la majorité des chefs-d’œuvre scandinaves. «
L’Humanité Hebdo
« … Caroline Girard est un écrivain. Un vrai. Il y en a peu. Je me souviens, avoir songé lorsque j’ai refermé son premier roman, à certaines oeuvres de Richard Millet. La prose superbe et effroyable de la Mort arc-en-ciel avait à voir avec celle des romans, noirs, diamants noirs, de Millet.
Lorsque j’ai lu le second livre de Caroline Girard, j’ai retrouvé ce que j’avais entendu dans le premier : la même voix, même si dans On a volé le saint-Esprit, elle a pris d’autres modulations, d’autres échos, d’autres phrasés, saisissant l’étouffement de la sphère familiale avec une qualité frappante d’observation et de rendu, sans esbroufe, sans tapage. »
Lettre de Philippe Claudel